Bonjour Mézami !
Déwo a trouvé son public.
Si le cœur vous en dit, consultez quelques retours que je publie après ce post, qui vous montreront comment l’ont accueilli ceux qui en ont soutenu sa sortie. Je suis comblée.
Ce livre n’est pas comme les autres. En le lisant, vous le sentirez je crois. Ce n’est pas seulement un livre sur les criminels que nous continuons d’honorer deux cents ans parfois après leurs crimes odieux contre le peuple, sur notre terre, ces démons qui habitent sans vergogne dans nos rues, des « mizérab » comme Joyeuse… Bertin… Guédon… Bouillé…
C’est aussi un livre sur l’amour et les liens familiaux. Un livre sur le choix entre mensonge et vérité. Un livre sur le triomphe du Bien contre le Mal, même s’il se cache par habitude et ignorance.
Si vous le lisez, n’hésitez pas à venir nous dire ce que vous en avez pensé s’il vous plaît. L’avis de tous compte. Le vôtre plus que tout autre.
Merci de votre intérêt pour mon travail et cette oeuvre en particulier.
Si vous avez envie d’échanger avec moi dessus, de l’enrichir de vos connaissances, de me dire pourquoi vous ne l’avez pas apprécié, venez aussi.
Les critiques sont toujours bonnes quand elles sont honnêtes.